Tout être humain est soumis au stress dans sa vie privée ou professionnelle à un moment ou à un autre. Une partie du stress vient d'élément qui nous sont extérieur tel que l'organisation qui nous emploi, l'attitude de nos chefs, les objectifs fixé par le managemen t, la faculté de s'accorder ou non avec nos collègues, etc. Une partie du stress provient de sources internes comme d'objectifs personnels ambitieux, un agenda trop chargé la peur de ne pas être apprécié, un ma nque de temps pour se reposer, etc.
Alors que le stress peut être reconnu assez facilement, le micro-stress reste sous le radar. Il nous affecte même si sa nature discrète car peu importante ne passe pas jsuqu'à notre conscience. Il est donc difficile de s'en protéger et son effect sur notre santé peut être important. Il peut être interne comme externe. Des petites remarques récurrentes de collègues peuvent créer un micro-stress. De même, une surcharge récurrent peut-être expliquée par une incpaciaité de soi à gérer la charge. On s'oriente alors vers des outils de gestions, mais le micro-stress perdure.
Inutile de dire que l'effet du stress sur la santé est délétère.
Lorsqu'on n'arrive plus à avancer avec nos tâches parce qu'on se sent débordé, on se trompe souvent de cible. On pointe du doigt une mauvaise organisation et l'on cherche un système pour mieux gérer nos tâches . En réalité, il s'agit de réfléchir à notre charge, la quantité de tâches sur notre liste et l'énergie disponible. Quelque soit notre système d'organisation, nous avons trop. Comme Jade Wu l'écrit:
Pourquoi laisseriez-vous une liste de tâches à faire prendre le contrôle de votre cerveau ? La réponse est assez simple. Votre cerveau ne voit pas une liste de tâches à faire, il voit la menace d'une pénurie: manque de de temp, manque d'énergie, manque de compétance magique pour toute fourrer dans 24 heures. Ou il perçoit la menace de l'échec, la déception des autres, la menafe du sentiment que vous n'en faites pas assez.
Les travaux de recherche montrent qu'une peur inconsciente domininue nos capacité intellectuelles. Une étude a montré que l'on peut induire une crainte chez quelqu'un et voir son effet par une mesure des capacités cognitives. Cette recherche consistait à interroger des personnes venant faire leur courses. Les volontaires étaient sondés quand à leur moyens financiers. On faisait alors deux groupes, un premier avec les personnes aux ressources financières limitées auxquelles et ceux qui avaient largement de quoi faire face aux léas de la vie. On demandait ensuite à la moitié du groupe des personnes les moins bien lotties ce qu'ils feraient en cas de panne de leur voiture alors que leur moyens ne leur suffiraient pas pour réparer. On les mettait ainsi dans un état de préoccupation. On ne posait pas la question à l'autre moitié du groupe aux ressources limitées
Pour chacun des trois groupes, on testait à la fin leur capacité cognitive. Les résultats obtenus par le groupe à qui l'on avait induit l'inquiétude étaient les moins bons au test. L'explication avancée par les chercheur est que le cerveau conserve la préoccupation inconsciente du problème à résoudre et que ce maintient inconscient consomme de la capacité intellectuelle.
Le même effet se produit dans une situation de manque de clareté. Si vous savez que vous devez faire une tâche à un moment donné mais que celle-ci n'est pas clair, votre performance sur les travaux que vous faites alors avant d'aborder votre tâche problématique sera moins bonne que quelqu'un pour qui la tâche est claire.
Les tâches que nous devons effectuer demandant une analyse, ou nécessitant l'aide d'outils dont nous ne disposons pas, ou manquanant d'informations, tendent à démarrer plus tard en moyenne. Lorsque ce type de tâche nous apparaît, il s'accompagne d'un sentiment de confiusion. Pour démarrer la tâche notre cerveau doit ommuter du mode exécution en mode stratégie dans lequel il faut réfléchir à comment aborder la tâche et par quoi commencer. Parfois, par manque d'énergie nous refusons simplement la tâche, l'effort inconscient pour changer de mode est trop important. Nous procrastinons.
Une autre façon d'être affecté par la confusion apparaît lorsque nous travaillons sur une tâche dont le projet sous-jaçant est absent ou mal compris. Nous formulons alors nous-même des raisons pour remplir les hypothèses qui surgiseent lors de notre travail. Même si nous prenons les bonnes décisions, ce travail décroît notre performance.
Une vision et un context clairs permettent d'assurer un alignement et un travail sans friction.
Lorsque vous passez d'une sphère de travail à une autre, par exemple entre deux projets qui n'ont rien à voir entre eux, il vous en coûte 23 minutes en moyenne.
Ce changement est chaque fois un défi pour votre cerveau qui a besoin d'un certain temps pour passer d'un sujet à l'autre. Retrouver le contexte, se remémorer ce que l'on doit avoir à l'esprit pour faire son travail efficacement prend du temps, comme pour un moteur thermique dont le rendement augmente après une phase de chauffage. 23 minutes de concentration maximale perdue est une perte énorme surtout si l'on pense à tous les changements qui interviennent aujourd'hui dans notre environnement. Tant que le sujet reste le même, par exemple lorsque vous passez de votre rapport d'analyse à votre messagerie pour retrouver une référence, tout va bien. Mais si vous commencez à répondre à des messages qui n'ont rien à voir, votre concentration disparaît et votre efficacité s'en trouve affectée. Si l'on pense souvent à cette situation, on ignore souvent que passer d'un projet à un autre qui n'a rien à voir a le même effet.
Les tâches que nous exécutons ont des effects différents sur notre psyché en fonction du jour où nous le faisons ou de l'heure à laquelle nous le faisons. Parfois c'est facile, d'autres fois fatiguant. Les tâches peuvent être de nature difféerente. Certaines exigent de l'attention, d'autres des capacités analytiques, certaines ni l'un ni l'autre. Dépendant de notre fraîcheur relative, notre performance sur une tâche donnée ser différente.
On pense souvent que la performance est juste une question de discipline et donc de volonté. En fait, la volonté s'épuise aussi au cours de la journée. Lorsque l'on pense que l'on peut prédire notre comportant par déduction de notre force de volonté, on se trompe la plupart du temps.
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